Ainsi vous vous dirigez vers des toilettes publiques et êtes impressionnés par le décor contemporain. Des surfaces étincelantes. Des équipements ultra-modernes. Des finitions chromées.
Et là vous tombez sur un sèche-mains au design futuriste, et non sur l’appareil typique de l’ère industrielle des années 50. Sur celui-ci il n’y a pas de bouton. Vous passez simplement vos mains à l’intérieur d’un appareil qui génère un flux d’air puissant. Mais c’est à ce moment-là que les problèmes surviennent.
En effet, cette nouvelle génération d’appareils propulsent et diffusent davantage de bactéries qu’un sèche-mains classique ou que des serviettes en papier. De ce fait, ces appareils semblent efficaces au premier abord mais peuvent causer davantage de problèmes.
Selon les études récemment rapportées dans le Journal of Applied Microbiology, le diffuseur d’air propulse davantage de bactéries dans l’atmosphère et celles-ci survivent parfaitement sur une période plus longue.
L’Étude
Dans un environnement contrôlé, des chercheurs ont appliqué un virus appelé MS2 sur leurs mains et ont ensuite utilisé des serviettes en papier, un sèche-mains conventionnel et enfin un sèche-mains à propulsion d’air. À la fin de l’expérience, la quantité de MS2 appliquée était égale à celle que l’on peut retrouver sur une personne atteinte de norovirus et qui ne se lavait pas les mains correctement.
Les chercheurs ont ensuite testé la qualité de l’air dans un espace clos en capturant le virus sur des plaques couvertes par une mince couche d’E Coli. Le MS2 parvient a tué l’E. Coli; ainsi en regardant si les souches d’E. Coli dispersées dans la pièce étaient mortes, les chercheurs ont été capable de déterminer la portée et le degré de prolifération des bactéries. Ils ont également installé les plaques sur différents niveaux de manière à voir comment se développeraient les germes au cours du test.
Le Résultat
Le sèche-mains à propulsion d’air produit 60 fois plus de virus qu’un sèche-mains conventionnel et 1300 fois plus que des serviettes en papier. En fonction de la hauteur de la transmission virale, le sèche-mains à propulsion d’air produit 70% de la prolifération des germes à hauteur du visage d’un enfant de taille moyenne
Le plus choquant fût le degré de prolifération des bactéries. Le sèche-mains propulse des bactéries 500 fois plus loin que le sèche-mains à air chaud et permet aux microbes de subsister dans l’air 15 min après l’action.
Ne serait-t-il pas possible que les bactéries soient déjà éliminées avant de se sécher les mains? Considérez cela : les experts disent que pour se laver correctement les mains il faut prendre le temps de le faire. Il faut une durée minimale de 25 à 30 secondes pour que le lavage soit efficace soit l’équivalent de deux chansons «joyeux anniversaire». Mais le plus souvent, les gens ne le font jamais.
La solution
Il y a une solution: les purificateurs d’air AeraMax Professionnels qui éliminent non seulement les odeurs nauséabondes présentes dans les salles de bain mais aussi les virus et microbes. Ainsi, sans prendre en considération le type d’équipement de la salle de bain (sèche-mains dernier cri, sèche-mains à air chaud conventionnel ou papier essuie-mains), l’AeraMax Professionnel peut éliminer jusqu’à 99.9% des polluants présents dans l’air tels que les bactéries et les virus.